LIVRE D'OR - REQUIEM - VISITOR'S BOOK Lire la critique - reviews
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C. C. 9 janvier, à 01:57
Merci encore Maestro pour cette merveilleuse soirée, nous étions "ore leonis". L'Introitus et le Confutatis étaient particulièrement magnifiques et poignants mais aussi terrifiant par moments. J'ai trouvé le livret remarquable, et quelle écriture pour la Sybille et les chœurs qui vous ont remarquablement servis. Idem pour les cuivres idéalement maîtrisés par Inbal avec une tension et une progression tragique fabuleuse. J'ai hâte d'en avoir l'enregistrement, une fois qu'on a entendu votre Requiem, on n'a plus envie que d'écouter celui-là. Mille fois merci, c'était le grand frisson. Très cordialement et vous souhaitant le meilleur à venir.
J. M. B. 12 janvier, à 13:36
Vous êtes désormais dans l'Olympe des grands compositeurs. Votre Requiem est à l'égal des plus grands, je le pense vraiment. Bravo !
R. de la P. 12 janvier, à 13:36
Cher Thierry, j'en ai des frissons à chaque fois... je ressens un glissement inexorable vers la beauté et l'au-delà. Ces voix nous attirent et nous transpercent l'âme. Votre Requiem est à la hauteur des plus grands et même bien plus.
A. C. B. 19 janvier, à 11:41
J'ai pleuré pour ce Requiem, vous savez, mais ce que vous ignorez c'est que ... plus de larmes comme ça depuis ... presque 10 ans!!!.
Tristesse, chagrins, des jours si durs, plus assez de nuits pour m'apaiser. Trop pleuré!! Plus de larmes!!!.
Et je cachais tellement bien mes émotions.
Je suis sereine, calme et paisible maintenant et je goûte tous les plaisirs terrestres. J'étais donc prête à recevoir ce Requiem comme un don des Dieux.
Vous êtes certainement l'un d'eux mais vous ne le saviez pas :)
Tellement de joie en si peu de temps!!!
La VIE est précieuse.
L'AMOUR est grand et nous rend fort.
Et nous sommes tous des PRINCES.
N. H. 23 Decembre
Je ne sais vraiment pas par où commencer pour vous dire ce que cela signifie pour moi d'entendre une musique si magnifique. Elle a été à l'origine d'une réaction, inhabituelle pour moi, et qui me fascine. J'ai donc voulu essayer de vous en parler. Pour commencer, je dois dire que je j'ai été transportée totalement et qu'elle m'a inspirée. Votre intention est puissante et claire dès le tout début, et sa force est fascinante tout du long jusqu'au soulagement final du Amen. Et même là, après, cela continue dans ma tête. Je ne connais pas d'autre compositeur, aujourd'hui, qui puisse maîtriser de larges forces tel que vous savez le faire, avec des vecteurs et des significations si clairement compréhensibles. C'est aussi difficile pour moi de penser à une autre œuvre de notre temps qui inspire le mot transcendant. Seuls les énormes sons habituellement parviennent à faire ressentir une sorte de respect mêlé de crainte! Mais vous, vous faites tout cela, comme si vous étiez venu d'un autre siècle, ou bien comme si vous arriviez d'une accumulation de siècles, après avoir amassé un vrai message à livrer dans notre langue d'aujourd'hui. Vous avez recréé une dimension dans l'univers qui semble avoir manqué pendant longtemps, une dimension dans laquelle des forces bien plus grandes que les nôtres sont mises en jeu. Le résultat force à une profonde réflexion et j'y ai trouvé matière à contemplation.
Etant installée devant le clavier de l'ordinateur, j'aimerais vous faire part de plusieurs choses qui restent avec insistance dans mon esprit, ou tout au moins essayer de définir, ne serait-ce que pour moi-même, déjà, ce qui a si complètement captivé mon imagination. Ces voix désespérées, dispersées, de votre Kyrie, avec ces harmonies de désespoir : dès ce moment j'étais hantée. Puis arrive cette combinaison unique de sonorités qui émerge de ce colossal « rocher », sous les pieds de la basse dans le Psaume… et ces pizz des cordes, poignants (si c'est bien ce que je crois avoir entendu!) qui font gicler d'étincelles la bordure du chaos dans le Dies Irae… et les claquement et les coups de bec des sopranos-harpies ! Y penser seulement suffit à me donner des frissons dans le dos. Et alors, la tension quasi insoutenable du Mors stupebit : c'est un drame à part entière à lui tout seul ! Et je ne savais pas qu'il y avait un accord à lui tout seul capable d'embrasser l'univers tout entier jusqu'à ce que j'entende le début du Rex tremendae. Où, de part le monde, avez-vous trouvé cela ?
Cette marche, sinistre, tout au long du Lacrimosa, avec cette immense cohorte d'âmes coupables m'a traversé comme un vaste vision cinématographique. Mais alors, ce qui m'a captivé, c'est la manière dont vous utilisez les solistes que vous faites progresser et qui, presque imperceptiblement, se transforment en un véritable flux. C'est une manœuvre brillante, tout du long jusqu'à l'hésitante conclusion. Encore une fois : un chef d'œuvre à lui tout seul, méritant d'être écouté encore et encore, ce que j'ai fait pour cette section – essayant de décrypter comment vous avez pu réaliser ça ! Et alors, je ne dois pas oublier que vous avez su créer un abîme pour votre Offertorium – et je me sentais en sécurité (enfin pas tant en sécurité que ça…) sur le bord. Et ce que vous avez fait pour donner un effet de grandeur troublant est complètement mystificateur. Je suis bien persuadée qu'il n'y a pas de technique de composition qui s'appellerait : « comment faire un abîme démesuré avec la mauvaise augure qui va avec. »
Il y a quelque chose qui tient à l'écriture vocale et qui ne quitte pas mon esprit. J'ai pensé lorsque je suis arrivée à l'Ingemisco, que c'était là la plus belle ligne de soprano que j'ai jamais entendue, et certainement elle porte en elle une très grande expressivité pour émerger de ces étroits tons et demi-tons. Lui donnant ainsi une plus grande profondeur dans la tresse qui l'unit aux violoncelles à l'unisson et qui l'entoure et passe à travers elle. Beauté à fendre le cœur. Et aussi, à un autre endroit – plusieurs passages de chœur déployé en quartes, cruellement – et les sopranos hurlant à travers le ciel, ici et là. Vous avez l'air de bien connaître la terreur ! Aussi le chant de la Sibylle m'a fascinée – la manière dont les lignes vocales bougent, et qui, pourtant, dans le contexte que vous créez, n'arrivent nulle part. Encore un coup très ingénieux.
Et alors, il y a aussi ces couches et ces dimensions du son, en grands nombres, insondables – suspendues, planant, là, dans le Sanctus : vous dépeignez avec ça tout un ciel cosmique.
Et, comme si ce n'était pas assez – le plus étonnant de tout : l'arrivée de l'Agnus Dei. Au moment où il arrive, l'expérience ressentie est que c'est la plus belle musique jamais écrite. (Oui, j'ai écouté tous les grands compositeurs, et quand bien même, je confirme que c'est bien ce que je veux dire). Vous construisez un contexte tout au cours de l'œuvre de manière à ce que quelqu'un puisse ressentir une émotion particulière à un moment précis.
Je sais que je vais écouter la fin encore de nombreuses fois – mais entretemps, la sensation insistante de cette voix seule, englobant toute l'humanité, égalisée en une masse de sons rendue presque silencieuses, venant ensemble résoudre tout conflit dans l'Amen. Oh, à quelle pauvre race humaine, se débattant comme elle peut, appartenons-nous ! Il est bien rare que cela nous soit rappelé de manière si vivide et si profonde.
Je sais qu'il est ridicule d'essayer de parler de musique, particulièrement de grande musique, mais dans ce cas, il me semble que je ne peux pas me contenir. Je voulais trouver un moyen de vous dire que le Requiem s'est glissé dans ma vie et semble parfois prendre le dessus ! J'ai fait écouter le Requiem à des amis à qui nous rendions visite pour Thanksgiving et avec lesquels nous écoutons beaucoup de musique à cette occasion. Ils ont tenu à l'écouter immédiatement une deuxième fois. Et, lorsque je me suis réveillée, dans leur maison, le lendemain matin avant qu'il ne fasse jour, j'ai entendu le son de la Sibylle, à nouveau, qui filtrait à travers le parquet et qui venait de la stéréo d'en bas !
Je pense que vous êtes un génie – et je ne dis pas ça à la légère. Chaque section du Requiem est un monde brillant à lui tout seul, rempli de sonorités et de couleurs totalement nouvelles, des formes et des couches qui définissent la raison d'être de l'œuvre. Et pourtant, comme un tout, le Requiem met en avant et délivre un message hautement unifié.
Je suis heureuse que les applaudissements figurent sur l'enregistrement, je me sens en effet moins isolée, sachant que des milliers d'autres personnes, chacun à leur manière, ressentent ce que je ressens.
Avec toute mon estime,
N.
A. V. G. 10 janvier, à 10:49
Encore merci, et bravo pour ce moment d'émotion musicale trop rare de nos jours. Si un disque est édité, tenez-nous au courant!
A. C. 10 janvier, à 08:27
Je suis vraiment très heureuse d'avoir assisté à ce Requiem. Ce fut un grand moment pour moi, beaucoup beaucoup d'émotion!!!. IL y a eu même des moments de bonheur et si fort que les larmes me sont venues tout naturellement. Tout le Requiem prenait corps en moi. J'aime ces sensations, elles sont si fortes!!.
Merci. !!!
Longue "vie" pour ce Requiem!
M. B. 10 janvier, à 07:33
Votre Requiem est un monument.
P. 9 janvier, à 00:49
C'est terriblement intelligent, terriblement bien fait, terriblement bon à écouter, une réflexion sur la vie et la mort, avec une vision croisée athée/chrétienne, qui à partir d'un exercice presque codifié (on retrouve bien le texte de tout Requiem, et le "Amen !" final), donne une très forte expression artistique.
F. L. R. 9 janvier, à 09:36
Tu étais assailli d'admirateurs (-trices) hier au soir, et je suis heureux d'avoir pu te voir brièvement, et surtout d'avoir été des privilégiés qui ont pu entendre ta première ! Comme je te le disais après, j'ai adoré le "Lacrymosa" et l'Agnus Dei final... Merci encore.
M. C.
This was the most heartfelt piece of music I've ever heard! Find it on Radio France. Perhaps it will be distributed elsewhere. Bravissimo!
T. P.
Et c'est bien pour ça qu'il nous faut le réécouter ! on attend le CD où la tournée interplanétaire !
Mais ça s'discute...la quinte à vide n'étant finalement qu'un accord parfait privée de sa tierce, tu nous a piégé l'oreille imparfaite ! Quand au 12 coups de grosse caisse qui sont 13...ça dépend si on compte le premier comme étant 0 ! ... ;-)
Bon, OK, on s'en sort comme on peut !
T. P.
"La musique est l'ambiguïté érigée en système. Prends telle ou telle note. Tu peux la comprendre d'une façon ou d'une autre, selon ses rapports, la considérer comme haussée d'en bas ou diminuée d'en haut et tu peux, si tu es malin, user à ton gré de ce double sens..." le rapport est tout !... Thomas MANN "Docteur Faustus"
Voilà une critique à la mesure de votre œuvre. Emotion, puissance, vision, finesse de l'écriture (musicale mais aussi la magnifique plume de Quignard), ce Requiem m'a profondément touchée. Merci! A quand un CD?
J.
Cet article résume admirablement ce que je pense, je suis sûre que ton œuvre rentre maintenant dans la
postérité, témoignage majeur de notre temps par sa profondeur, son originalité, son incroyable beauté qui
met les cœurs et les sens à l'envers... bravissimo pour ce magnifique cadeau que tu as fait à tes auditeurs,
vivement le disque pour revisiter, approfondir l'écoute.
Surtout n'ait pas la depression "postparturient".... mets toi à composer une nouvelle œuvre.
Je t'embrasse très affectueusement, donne moi de tes nouvelles.
C.
Je viens de lire la critique très élogieuse du lien que vous avez ajouté à votre message: elle redit ce que je pense et fais preuve d'une grande lucidité quant au ressentit collectif. Une œuvre magnifique, un oratorio presque, qu'on a envie de réécouter à peine sorti de la salle. Ce matin encore des bribes de chœurs et de solo me trottaient dans la tête, alors je les chantonne! Quel dommage que la partition ne soit pas en vente encore, j'aurais pris beaucoup de plaisir à chanter les solos sopranos. J'assistais un jour aux répétitions de Maestro Inbal qui donnait le Requiem à la Mémoire d'un ange de Berg, il me demanda par la suite si cela n'étais pas trop "difficile à l'oreille toutes ces dissonances". C'est beau, cela vous arrache les entrailles, pas un moment où l'on ne soit surpris et impliqué. On ne peut nier les grands chefs d'œuvres classiques mais la musique post-romantique et "contemporaine" (je n'aime pas ce mot-là) est bien supérieure, elle n'emprunte pas de détours pour parler aux émotions, elle fouille vos entrailles sans vous laisser de répit et on est livré à son soi profond sans ménagement. Les larmes? oui j'ai été très émue mais aussi remplie de joie et touchée parfois par la beauté de votre Requiem. Ce serait merveilleux de pouvoir l'entendre à nouveau.
Vous avez reçu une demande d'amitié, je serais très honorée si vous l'acceptiez.
Avec mon admiration et mes salutations cordiales,
J. B. 15 janvier, à 14:45
Thierry, vous êtes, avec ce requiem, devenu l'égal des plus grands. J'ai cité Debussy, Ravel et Messiaen. Vous reprenez le flambeau après cinquante années pendant lesquelles on a pu croire que la vraie musique était en perdition, en se coupant totalement des canons du beau et de son public naturel. A 54 ans, vous êtes jeune. Ne vous laissez pas emporter par le monde des people qui va vous assaillir, et continuez à créer.
G.
Vraiment, mais vraiment BRAVO, quoi.
Bravo pour ton œuvre très très belle, d'une grande spiritualité, d'une grande profondeur, d'une grande émotion, d'une grande perfection, surtout tellement musicale, d'une grande unité, Je me disais qu'au paradis, ça doit être comme ça !
Et bravo aussi à tes interprètes qui t'ont bien servi, qui ont bien pigé ton esprit qui nous ont fait eux aussi aimer ton Requiem !
Plus que 3 ans 1/2, c'est toute une vie de création, c'est vraiment une œuvre complète, magnifique. Tu peux être fier, et nous on est fiers !!! Je peux te le dire. Et on te reconnaît bien dans cette pièce, c'est bien toi, très personnel. Maintenant j'aimerais bien la réécouter pour la savourer à nouveau, et m'y replonger avec délice !
Je t'embrasse bien affectueusement et admirativement.
T. V.
En tout cas, cette fin est un de mes passages préférés de l'œuvre et en particulier lorsque le chœur déclame pianissimo " Dona eis requiem sempiternam, amen" : les 2 voix des solistes se confondent avec le chœur qui flotte comme un nuage au dessus de l'orchestre et des solistes .... c'est bouleversant !!!
A. D. N.
c'est vraiment magnifique !!! Bravo !
M. B.
Quel plaisir de réécouter ce superbe requiem, au petit matin. Vivement un CD ou une video, et surtout une reprise dans une salle française.
J.
En attendant le cd je réécoute avec plaisir le requiem sur le site de Radio France.
Vraiment une belle œuvre.
C. C.
Merci pour cette belle œuvre!
J. G.
.... Et donc, je suis venue vous demander à Pleyel où étaient les éléments de musique Balinaise dans le requiem, que j'ai intuitivement voulu entendre dans les rythmes légers et comme des instruments de là bas sur le côté gauche de l'orchestre (piano, harpe?) . J'en étais curieuse mais ce n'était pas le bon moment pour vous.
Si j'ai apprécié tout le travail textuel (verbal) et la majesté de l'œuvre, j'ai été très touchée par le lacrymosa, qui était certes plus objectivement mélodique: peut être suis je démodée, mais j'ai été émue. Je n'ai pas eu le temps de vous le dire, et je pense qu'un créateur peut être à priori content (je n'irai pas jusqu'à satisfait/heureux, cela appartient à chacun) d'avoir un petit retour positif, quelle que soit la personne qui le lui donne.
A. P.
Je suis vraiment ravie d'entendre cette musique superbe, créative et audible (!) !!
La relève semble assurée de compositeurs contemporains humains et talentueux.
Thierry, l'opéra se meurt de ne pas voir son répertoire lyrique renouvèle pour le plaisir du public et de ses amateurs inconditionnels . Il faudrait inonder le marche d'œuvres de cette qualité ! Merci encore pour tout ce talent et cette simplicité !
S. B.
Wish we could be there!
Y. G.
Je te souhaite un méga succès à la salle Pleyel et nous nous verrons a new york en avril ! t es le meilleur Thierry.
I. L.
Je suis collée au poste ! :) bonne chance !
C. R. C.
L'oreille collée à la radio....comme j'aurais aimé y être "pour de vrai"! mais je suis toute ouïe et toute curiosité! et m...à tous
A. S.
Mille félicitations pour ce grand moment de musique que vous m'avez permis de vivre ce soir. J'étais pendu à la radio. Votre œuvre est d'une beauté indicible et terriblement prenante.
Encore bravo, bravo, bravo !
A. K.
What an extraordinary, overwhelming statement you've made,! Both gorgeous and so desolate, nothing extraneous, nothing missing, and a true sense of it's own scope and pacing from the very start. Truly expressive vocal writing, with such grounding from antiquity to today, without ever sounding like anyone else, a wonderful achievement - .and what a performance!!! I hope to hear it again very soon with translation of the new texts.
I. L.
Tout simplement magnifique !!! bravo !
T. V.
Magnifique et extraordinaire, ce sont les deux mots qui me viennent à l'esprit après avoir entendu votre "Requiem" !!! Une superbe œuvre où se mêlent tant d'émotions différentes, et nous prend comme un voyage initiatique à travers la mort, grâce à de géniales mélodies et une superbe orchestration ... BRAVO !!!! On a la preuve que la musique contemporaine peut créer de véritables chefs-d'œuvre !!.
M. C. B
C'est une œuvre magnifique, ample, intense, une œuvre de maturité, qui s'appuie sur une vraie vision, et dont l'architecture est très claire, ce qui la rend en effet accessible à tous, en tout à qui veut s'y rendre disponible. L'agnus dei est une vraie jubilation.
J'ai aussi adoré la transition entre le premier solo et le chœur.
J'ai aimé plein d'autres choses, par exemple des passages en octaves en apparence tout simples, il faut atteindre un grand dépouillement pour pouvoir écrire ainsi. Nous avons pensé plusieurs fois au roi David, que nous avons chanté il y a fort longtemps, à cause de cette apparente simplicité, et à cause de la grande force de l'œuvre.
C'est à la fois une musique pleinement de notre temps, et une musique capable de dialoguer avec les ombres des anciens bref, c'est vraiment magnifique, et cela va droit au cœur.
Bravo, très sincèrement !!
C. A.
Quel succès,tellement mérité.
Ce requiem est intense, impressionnant, déroutant, quel travail et quel aboutissement!
Chœur parfait, la Gubich qui n'a pas la partie la plus facile s'en sort haut la main, ténor impressionné par l'impressionnante basse s'est chauffé jusqu'a devenir idéal et les aigus superbe de la soprane nous ont chavirés.
Bravo thierry,bravo mon ami!
J. B.
Merci Thierry pour ce très beau moment. L' intensité dramatique des chœurs était prenante. L' aspiration déterminée vers la délivrance, magnifiquement interprétée par votre musique. Bravo !
M. E.
Merci pour ce moment extraordinaire de musique et d'émotion. Une grande puissance d'évocation, l'humanité dans toute sa grandeur et sa misère. Et la joie !
K. B.
J’aurais aimé que la musique dure plus longtemps encore.
Une des personnes à qui j’avais recommandé d’écouter la radio (en province), l’a fait, tout en regardant le site web. Son commentaire SMS: extraordinaire, dit-elle. Et elle a signalé ton site à une amie québécoise anthropologue qui travaille sur la mort, Luce des Aulniers. Y aura-t-il un disque un jour?
Je me demande si je n’aurais pas encore plus aimé à la radio, même sur mon mauvais poste à trois francs six sous (les disques que j’ai aimés jeune sur des appareils lamentables, quand je les entends tout propres, je suis déçue d’entendre des noms de notes en automatique, au lieu d’être embarquée). Je crois que les acoustiques propres et sèches, ce n’est pas mon truc. Surtout pour les percussions et un Requiem, entre l’habitude de Bali (toits de tuiles, de zinc) et des églises réverbérantes.
Nous avons particulièrement admiré le chœur. Tu écris magnifiquement pour chœur. Et les irisations (j’invente le terme, c’est l’image que j’avais) en général, à l’orchestre aussi.
Ca m’a gênée d’être si près des solistes et d’avoir trois plans (et même quatre avec les percussions), le chœur très loin petit, à la vue comme à l’ouie tel le paysage miniature d’un fond de tableau renaissance, alors que jusque là j’avais en tête une antre (quoiqu’il ait été aussi riche, musicalement, que ce genre de paysage). Pendant les moments avec solistes, ça n’était pas assez plein et fondu à mon goût, la Sibylle n’était pas dans une caverne. Ca m’aurait donné envie d’avoir le chœur en premier plan, comme caverne résonante. J’ai entendu un gong chinois (style musique de scène chinoise) à jardin, qui m’a fait bizarre, isolé, j’ai rêvé? J’aurais aussi préféré les percussions au milieu. Mais j’ai adoré le glas!
Bon, ces ressentis concernant l’acoustique et les plans, ça doit venir de toutes mes habitudes de son global, de corps collectif (ce chœur en est bien et tu l’écris bien ainsi), de places en régie et au pigeonnier, de rites balinais hétérophoniques où par instant il y a émergence d’un son extraordinaire par le mélange aléatoire. Du son avec plus d’harmoniques que dans cette salle.
D. D.
Merci pour ce merveilleux moment d'émotion.
Ayant été permanente aux jeunes solistes avant de rentrer a la radio il y a peu de temps , j'ai eu l'occasion de créer beaucoup d'œuvres contemporaines avec Rachid Safir et j'ai le plaisir de constater que votre œuvre fait partie des plus belles que j'ai pu chanter.
Cordialement et encore bravo !
N. G.
Félicitations pour ce spectacle merveilleux. L'harmonie et l'émotion sont fabuleuses.
L. B.
C'était magnifique. J'ai trouvé que c'était un "vrai" requiem, dans le sens où le conflit Vie/mort était véritablement à l'wouvre, suscitant des émotions fortes et fines à la fois. J'ai été particulièrement sensible au travail sur les basses, les graves, l'amplitude sonore créée. Un flot qui embarque, du début à la fin, littéralement.
G. H.
Merci infiniment de nous avoir donné une œuvre aussi splendide et aussi bouleversante. J'ai pu l'écouter dans de bonnes conditions de retransmission. L'audition hors site, si elle peut a priori paraître moins chaleureuse que celle vécue en partage avec le public dans la salle, permet à coup sûr une audition encore plus concentrée sur l'essentiel, c'est-à-dire l'œuvre. J'ai même pu enregistrer intégralement ce concert, sans manquer la moindre note de la partition. J'ai la conviction que votre Requiem rencontrera l'adhésion d'un large public, en raison de la densité continue du propos. En élargissant le champ des références culturelles, à la fois religieuses et laïques, pour vous adresser au public d'aujourd'hui le plus vaste, vous avez su à la fois renouveler un genre et vous inscrire dans une tradition, ce qui est, à mon avis, toujours la marque des authentiques créateurs. J'ai vraiment envie de réécouter votre œuvre, ce qui est le signe qu'elle m'a profondément plu et touché (en particulier le Lacrymosa, l'Agnus dei mais aussi beaucoup d'autres parties).
M. B.
Bravo! Un beau tour de force, lyrique, coloré et grave à la fois. Chef hors de pair, chœur enthousiaste, orchestre délicat, une réussite.
A. B.
I am in Prague again and was very happy to be present at your premiere. I think this Requiem is very communicative and refined work and will make a strong appeal on all audiences. I was glad to see you surrounded by so many admirers.
My friend a film maker was terribly surprised how emotionally strong contemporary music can be.
P. M.
Magnifique .......!!!
M. G.
Géant ! Grandiose ! Magnifique !
Une très grande œuvre, une très grande date !
F. L. R.
Je suis heureux d'avoir été des privilégiés qui ont pu entendre cette première ! Comme je te le disais après, j'ai adoré le "Lacrymosa" et l'Agnus Dei final... Merci encore.
K. M.
Bravo! The Requiem sounded fantastic on the radio. It is really a great piece and you must be so proud and pleased!
Felicitations!
A. R. T.
CONGRATULATIONS! on your huge and impressive premiere!
HUGE, massive, musical, integral, vivid, bold, sensitive, operatic, dramatic, nuanced piece!!!!!
HOLY COW!
What a massive undertaking you made.
I love the scope of it!
A. P.
J’ai été vraiment impressionné par la maîtrise du temps musical , par ces passages d’une atmosphère à une autre selon la nature de ce qui était évoqué, par l’écriture pour les chœurs, par la conduction générale, par le souffle qui en émane. Bref ce fut un super moment, et je ne fus pas le seul à le vivre ainsi !
En plus, le programme est extrêmement bien fait, je le garde comme un document de référence !
A. R.
Nous tenons à dire que nous avons passé une merveilleuse soirée, cloués sur nos sièges avec beaucoup d'émotion.
Mille bravos et merci avec tous nos souhaits de longue vie a cette belle composition.
J. M. B.
Ce fut bouleversant. Je m'attendais à quelque chose de grand, ayant apprécié auparavant votre talent de compositeur à l'audition des trop courts extraits musicaux de votre site. La performance de vendredi soir a dépassé toutes mes attentes.
Encore une fois, bravo.
B. J. M.
Thierry Lancino a réconcilié la musique contemporaine et la Grande Musique. Ce Requiem constitue, à mon sens, une étape importante de l'histoire de la musique. Bouleversant !
A. K.
Bravo, bravo, bravo.... !
N. D.
Bravo. Texte magnifique, musique formidablement écrite pour les voix solistes et les chœurs. On est sous le charme..mais il faudrait que cette création soit suivie d'autres représentations pour que nous l'apprécions mieux.
A. S.
Encore bravo pour ce grand Requiem.
C. L.
Merci pour cette œuvre sublime...encore bravo!
A. C. L. B. 10 janvier, à 14:27
Je suis vraiment très heureuse d'avoir assisté à ce Requiem. Ce fut un grand moment pour moi, beaucoup beaucoup d'émotion!!!. IL y a eu même des moments de bonheur et si fort que les larmes me sont venues tout naturellement. Tout le Requiem prenait corps en moi. J'aime ces sensations, elles sont si fortes!!. Vous savez pour en revenir à ce tract, finalement, je m'y suis habituée, et j'ai même fini par l'aimer. Mais ça pour être honnête c'est juste après avoir écouté ce Requiem. Je le comprenais enfin!!.
Merci. !!!
Longue "vie" pour ce Requiem!
A. V. G.
Encore merci, et bravo pour ce moment d'émotion musicale trop rare de nos jours. Si un disque est édité, tiens nous au courant!
S. H.
BRAVO!!!!!
A. S.
You must be swamped by messages and congratulations. It was indeed a very impressive evening, very dramatic. I am sure you were right to venture into a full-length work and do something traditional like that. It was of great beauty!
And I am sure that - in spite of the big forces involved - orchestras and promoters will want to program it.
A. G.
C'était très impressionnant et nous sommes sortis comblés. Je ne vais pas me payer le ridicule d'une analyse, mais je vais te dire ce qui m'a frappé. D'abord, et tant pis si cela te fait sourire, ta maîtrise de la masse chorale et orchestrale, et ta façon de l'explorer totalement, du murmure au tumulte. C'était plein de beaux élans et d'interventions brèves et minutieuses, c'était toujours prenant et surprenant. Ça avait de la gueule, quoi, ce qui était quand même requis pour un Requiem ! J'ai aussi beaucoup aimé ta liberté inventive, et ton indifférence aux modes ou aux oukases : c'est ce que tu m'avais déjà confié, quand tu m'avais dit que tu mettais des barres de mesure. Un petit détail, qui peut te paraître ridicule (mais, comme auditeur de bonne foi, j'ai tous les droits ! ) : je trouve tellement réconfortant de t'entendre répéter des phrases musicales, c'est-à-dire de nous donner un temps de surprise, puis d'apprivoisement, de reconnaissance, en même temps que d'évolution, puisque la chose répétée n'est jamais la chose qu'elle répète, et que le second fonde le premier autant que le premier fonde le second (Il y a de l'Héraclite et du Char là-dedans...). En ce domaine, je m'en tiens au titre d'un chapitre de L'improvisation musicale (Levaillant) : "Change, répète."
Bref, c'était une belle cérémonie, exaltante et même optimiste, dont j'espère qu'elle donnera un CD.
T. P.
Encore bravo ! et merci pour ce grand moment de bonheur et de plaisir musical riche de profondeur et de beauté absolue !
A quand le CD ???
Et une envie de se replonger dans les autres œuvres du répertoire Lancinoien...
C.
je suis si contente... je mets le casque et écoute encore ces émotions qui m'ont transpercées avec délicatesse ...
P. B.
Bravo ! Belle réussite !
J.
Cet article résume admirablement ce que je pense, je suis sûre que ton œuvre rentre maintenant dans la
postérité, témoignage majeur de notre temps par sa profondeur, son originalité, son incroyable beauté qui
met les cœur et les sens à l'envers... bravissimo pour ce magnifique cadeau que tu as fait à tes auditeurs,
vivement le disque pour revisiter, approfondir l'écoute.
Surtout n'ait pas la dépression "postparturient".... mets toi à composer une nouvelle œuvre.
Je t'embrasse très affectueusement, donne moi de tes nouvelles.
C. R. C.
Voilà une critique à la mesure de votre œuvre. Emotion, puissance, vision, finesse de l'écriture (musicale mais aussi la magnifique plume de Quignard), ce Requiem m'a profondément touchée. Merci! A quand un CD?
D.D.
Bravo pour votre si émouvant Requiem. Et mon ami Marcel a écrit fort justement dans son article sur le forum-opéra. Si vous cherchez de jeunes chanteurs talentueux, ouverts d'esprit et malléables, mes actuels et anciens élèves sont disponibles pour se faire entendre.
T. V.
Je vous dis encore "BRAVO" pour votre "Requiem" qui sera d'une manière évidente un des piliers du répertoire du XXIe siècle ! Entre la fureur rageuse du "Dies Irae" qui contraste avec le poignant "Lacrimosa" ou le fil ininterrompu de la mélodie de l' "Ingemisco" ou bien encore l'énergie débordante du "Confutatis", pour se finir dans un sommet de sérénité ( et de MAGNIFIQUES HARMONIES ) dans le "Dona eis Requiem" (et cette géniale quinte à vide !) .... tout ça servi par un superbe livret des plus poétiques...
Bref, cette œuvre représente vraiment la musique contemporaine comme on l'aime !!! ... et je crois que la Sibylle a apprécié !!!!
P. S.
....les sirènes.. New York.... Edgard Varèse... l'équation est la bonne...! .. magie de tes antennes à capter et transformer....! non?
F. C.
Merci pour tous les liens que vous publiez sur le Requiem. Merci Pascal Quignard, merci facebook sans lesquels je serais peut-être passée à côté de votre magnifique travail
B. G. 18 janvier, à 11:34
Je reçois l'invitation trop tard (18 janvier!) mais je voudrais vous dire, Thierry, combien votre requiem met en perspective stimulante le deuxième texte de Quignard (car le livret de la version musique est un autre texte par rapport à l'édition Galilée) : je m'explique : il accentue la schizophrénie du texte quignardien entre paganisme et christianisme, renvoie dos à dos ces deux désirs de mourir, laisse dans la pure question sans réponse comme vos voix mezzo et ténor proches vocalement ne se fondaient jamais en unisson : la sybille selon le vœu orphique veut que périsse son corps pour que son âme retrouve la vie primordiale de la grande "nux" originelle; David veut ressusciter âme et corps auprès de dieu selon un temps strictement linéaire à l'opposé du temps cyclique orphique. en cela nous étions bien dans le requiem athée de quignard et l'ambitus extrême où vous avez écartelé chaque soliste mimait peut-être cette façon de laisser béante la question sans réponse (quid après la vie terrestre?), qui parie seulement un requiem. Je travaille sur l'écriture de Quignard et je serai ravie de pouvoir échanger un peu plus avec vous sur cette œuvre, si les emplois du temps le permettaient.
Cordialement et MER-CI pour ce moment qui m'a musicalement bou-le-ver-sée; PS: comment acheter le CD?
P. T.
Bravo pour ce Requiem.
L'œuvre est impressionnante à plus d'un titre. Le jeu texte sacré/texte profane est plus qu'habilement traité...
Et pour finir sur mes impressions, il y a eu quelques passages d'une beauté exceptionnelle.
Encore bravo!
R. D. 19 janvier
Encore bravo pour ton Requiem. Impressionnant ! Varié et puissant. Sombre et lumineux !
J'ai regardé la partition chant-piano, j'ai regretté que tu aies fait ces coupures, en particulier le chant balinais. Mais, bon ce sera pour la création américaine, sans doute ? C'est prévu pour quand ?
J. P. D.
David et la Sibylle dans ce Requiem: un coup de génie!
J. D. 19 janvier
Il en est encore temps, acceptez tous mes vœux, mais vous avez anticipé avec ce beau coup de maître après quoi, on ne sait guère que vous souhaiter de meilleur.
C. E. O
Mr. Lancino, it is an honor to be one of your "FaceBook" friends. From what I have listened to regarding your music I am very impressed. You have broken a sound barrier as far as I can tell. To me you have captured the sound of "within". I very much appreciate your creations. Thank you.
R. G.
J'ai été fasciné par la beauté de cette composition et l'incroyable voix de la chanteuse..c'est sublime..vous avez réussi à atteindre et nous transmettre "le Sacré"...
P. T.
Je ne pense pas que ce soit demain la veille que tu cesses de récolter les fruits de ce qui s'est passé ce soir là.
J. V. D. P.
En attendant le cd je réécoute avec plaisir le requiem sur le site de Radio France.
Vraiment une belle œuvre.
B. P.
Merci, Je vais me procurer le CD. Cordialement.
J. M. Z.
J'ai écouté le direct sur France Musique et je fus époustouflé. C'était magnifique. Bravo !
J'attends avec impatience la reprise du Requiem.
B. J. M.
Merci d'avoir mis l'enregistrement du Requiem Lancino en réécoute sur votre site. Cette œuvre exceptionnelle place son compositeur sur un plan d'égalité avec les plus grands compositeurs de notre pays, Debussy, Ravel, Messiaen. mais surtout, en réconciliant la musique contemporaine avec la grande musique de ces anciens, elle rend au public une musique qui, tout en étant innovante, est en accord avec les canons traditionnels du beau.
C'est pourquoi j'estime indispensable que ce Requiem fasse l'objet de l'édition d'un CD, et qu'une reprise prochaine soit programmée dans une salle française.
T. P.
Oui, elle est grandiose (Nora Gubisch)
il fallait bien ça pour "être la charnière entre le monde humain et le monde divin" et "appréhender l'indicible ou l'incompréhensible"...
grandiose et sublime sur une musique qui l'est tout autant ! ;-) »
C. E. O.
I tried everything to connect with lacrimosa and to sibylle but to no avail. Will look forward to this soon though.
C.
My body/mind responds to your music in a similar way to the traditional East Indian Spiritual Songs. They were intended to induce Spiritual revelations. I have experienced this. The chakras opening from the base of the body to the crown of the head. Your gift of these pieces is our secret.
L. B.
This is a seriously and spectacularly fabulous work. Wow!!!
J. V. Je suis sûre que cette oeuvre rentre maintenant dans la
postérité, témoignage majeur de notre temps par sa profondeur, son originalité, son incroyable beauté qui
met les coeur et les sens à l'envers... bravissimo pour ce magnifique cadeau fait aux auditeurs,
vivement le disque pour revisiter, approfondir l'écoute.
C. R. C.
J'y entend comme la lueur d'une espérance, au loin, ailleurs... cela m'évoque le rayon de soleil, comme une fragile lance lumineuse, de nos anciennes tierces picardes, une interrogation métaphysique aussi, posée sur le socle bien terrien de la quinte... Quoiqu'il en soit, c'est bien l'émotion qui est là, d'abord, magnifique!
L. S.
Voilà de la vraie musique, qui parle, qui agit sur l’âme et sur les sens, une harmonie qui vous met en état de jubilation. Merci Monsieur Lancino, vous sauvez la musique.....
C'est ce que je pense moi aussi!!!
C. F.
Belle écriture!!!!!quellle sensibilité! merci Thierry
A. M. A definitve masterpiece. Thanks Thierry.
K.
Bravo pour ce beau Requiem. L’ensemble était magnifique, la prière "a cappella" de la soprano était une merveille de délicatesse , de pureté, très éthéré !
Je ne regrette pas d’être venue écouter le matin la générale, car l’effet produit le soir était pour moi si différent !
Les chœurs ont été magnifiques ( surtout les voix de femmes)l’orchestre si riche.
O. L. 24 janvier, à 23:24
Bonjour,
en y repensant, voila ce que, très modestement, j'ai pensé après le concert:
- rien de ce qu'on attend arrive mais ce qui arrive est plaisant
- une volonté de surprendre en suivant des déplacements qui ne se fixent jamais assez longtemps pour procurer le confort de l'écoute passive, mais qui obligent à suivre les déplacements en étant attentif et tendu vers le mouvement.
J'ai aimé ça.
P. R.
Surprenant , mais prenant!
S. S. A. Listening to Thierry Lancino's Requiem right now which premiered in Paris at the Salle Pleyel recently. Very arresting! Highly recommend it!
H. S. D.
C'est impressionant et magnifique.
P. B.
Plus j'écoute votre requiem plus je le trouve magnifique ! Mais je ne sais pendant encore combien de temps il sera disponible en streaming...
S. G. 17 février, à 06:14
J'ai écouté plusieurs fois votre Requiem, et je tenais à vous dire que chaque écoute fait croître l'admiration et l'émotion que ce fleuve incandescent suscite en moi. Votre texte est formidable (ne faisant que conforte cette conviction profonde que j'ai qu'il n'existe pas de bon opéra qui n'ait un bon livret....) et votre inspiration, intense, variée, ne faiblit pas une seconde. Chapeau !
Je ne crois pas avoir écouté du tout l'intégralité de votre catalogue (je me suis "interessée" à vous lorsque vous étiez à l'IRCAM, puis j'ai un peu perdu le fil ), mais je ne serai pas étonnée d'apprendre qu'il s'agit là d'un sommet, un chef d'oeuvre qui, sans doute, ne faiblira pas avec le temps — bien au contraire....
Avec mes sentiments les plus admiratifs.
P. D. 24 mai
Je n'étais pas à Paris pour ton requiem mais je l'ai écouté quelques jours après sur Internet. J'ai trouvé ça fantastique que tu abordes avec autant de force et de générosité une aussi grande forme. Je te félicite chaleureusement pour cette grande oeuvre pleine de poésie, de courage de spiritualité et de musique! Dans ton requiem, on entend bien que Nora Gubisch aime la passion qui anime ta musique.
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